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UNE NOUVELLE EXPOSITION SUR THOMAS MORE S’OUVRE AU SANCTUAIRE NATIONAL SAINT JEAN PAUL II

Une nouvelle exposition de premier plan sur Thomas More, le martyr anglais que St Jean-Paul II a déclaré  saint patron des hommes d'État et hommes politiques, a été inaugurée au Sanctuaire national Saint Jean-Paul II le 16 septembre dernier.  L’exposition, intitulée « D’abord au service de Dieu : La vie et l’héritage de Thomas More », explore la vie de l’ancien Lord Chancelier d’Angleterre qui a été exécuté sous le règne du Roi Henri VIII pour avoir refusé de reconnaître la suprématie auto-déclarée du roi sur l’Église en Angleterre.

Parrainée par les Chevaliers de Colomb et le Centre d’héritage chrétien de Stonyhurst, plus de soixante objets historiques sont présentés, pour la majeure partie, provenant du Stonyhurst College, en Angleterre, lequel a été le dépôt des objets protégés contre la destruction pendant la période de la Réforme. Ces objets comprennent le crucifix personnel de St. Thomas More, deux de ses chapeaux, ainsi qu’un chasuble brodé par Catherine d’Aragon, l’épouse dont Henri VIII a cherché à divorcer.  Des reliques exceptionnelles de St. Thomas More sont également présentées.

Pilgrims walking through the exhibit on Saint Thomas More at the Saint John Paul II National Shrine
Ribbon cutting ceremony for Saint Thomas More exhibit at JP2 Shrine

L’exposition examine également l’impact que l’exemple saint de More a eu sur l’évolution de la liberté religieuse aux États-Unis.  Elle comprend le calice et la croix pectorale qui appartenaient à John Carroll, le premier évêque catholique des États-Unis, et fondateur de l’Université de Georgetown.

À l’inauguration de l’exposition étaient présents son Excellence Lord Alton de Liverpool, président du Centre de patrimoine chrétien, Carl A. Anderson, Chevalier suprême des Chevaliers de Colomb, et Patrick E. Kelly, directeur exécutif du Sanctuaire.  

Dans ses remarques d’introduction, le Chevalier Suprême Carl A. Anderson a rappelé que « Dans une époque où nombreuses sont les personnes qui se tournent vers les autorités séculaires pour trouver inspiration et orientation sur ce qui est bien et juste, l’exemple de Thomas More souligne la nécessité de vivre notre vie conformément aux principes d’une conscience bien formée » .